Par Céline Puechguiral Gergès
Prenez conscience que votre chien n’est pas un être humain et que vous devez établir des règles entre lui et la famille. Il n’est pas le chef ! Appliquez des règles bien définies dès le départ entre lui et vous, ne lui accordez pas ce que vous lui interdirez par la suite (monter sur le canapé, accéder aux chambres, mendier à table…) il ne comprendrait « votre retour en arrière ». Cela créerait un malentendu entre lui et vous et conduirait à des conflits difficiles à résoudre par la suite.
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Quelques conseils de base.
Votre chien a besoin, outre sa nourriture, de promenades à heures régulières deux à trois fois par jour, ainsi vous éviterez les « pipis » et les meubles rongés. Indiquez lui « sa » place, son espace dans la maison d’où il puisse vous voir et « vous » protéger, mais éviter le lit voire le canapé, d’où il vous « dominerait ».
Si vous voulez qu’il garde la maison, il doit vivre avec vous et non attaché au fond du jardin, sinon à la moindre liberté il fuguerait ou mordrait le premier venu.
Des mots simples répétés : « non », « attends », « pas bouger », récompensés par une friandise plutôt que par des cris ou de longues phrases, faciliteront son obéissance. Et surtout pas d’ordre contraire dans la famille, pas de coups qui le rendraient craintif ou agressif.
Dans la rue, tenez-le en laisse et s’il s’oublie sur un trottoir, RAMASSEZ !
Bien sûr, pas de miracle ! L’éducation du chien est essentielle mais il faut rester persuadé qu’un chien sera « civilisé », tout autant que son maître le sera lui-même !
C’est l’utilisation inadaptée du chien par son maître qui rend l’animal dangereux ou « mal élevé ».
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